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# Journée à deux pour combattre la déprimeMar 13 Juin - 9:39
Journée à deux pour combattre la déprime
Nolan avait décidé de rester un peu plus longtemps à Vancouver. Ça lui ferait du bien de prendre un peu de temps pour lui sans se dire qu’il devait absolument bouger pour être sûr que le centre ne lui remettrait pas la main dessus. Certes, il n’était peut-être pas aussi utile pour les avancées médicales que les diverses créatures qu’ils avaient attrapées, mais la puce qu’il avait dans son cerveau était unique en son genre. Elle lui avait d’ailleurs permis de monter un plan milimétré pour sortir ses anciens amis dudit laboratoire.
En plus, le coin où il avait installé son bus était sympa, il pouvait se permettre de rester. Cela lui permettrait, d’ailleurs, de faire quelques réparations avant de repartir en vadrouille. Après tout, le traumatisme de la captivité lui avait fait avoir des sueurs froides en restant trop longtemps au même endroit.
Ce fut donc tard dans la matinée que Nolan rejoignit la ville en moto pour faire quelques courses et déjeuner. Cependant, il n’avait pas fallu bien longtemps pour que tout déconne dans sa tête et qu’il capte la présence de Lena dans les parages. C’est que la petite louve lui avait « tapé dans l’œil ». Elle était du genre rebelle au possible et pourtant particulièrement sympa ! Le jeune homme avait d’ailleurs plutôt bien profité lors de leur dernière rencontre. Elle s’était sentie redevable de lui parce qu’il lui avait trouvé une boutique de réparation de vélo fraîchement ouverte. En même temps, il était encore plus performant que Google quand il le voulait !
Naturellement, il avait rejoint la position de la demoiselle avant de tomber sur une puce qui avait l’air d’être déprimée au possible. C’était étrange de sa part, elle avait plutôt l’air énergique de base.
« Tiens, la livreuse… ça va pas aujourd’hui ? »
De toute évidence, il n’en avait pas vraiment fallu plus pour qu’elle se braque un peu. Eh bien, qu’avait-elle pu vivre pour être dans cet état. Il avait hésité un instant avant de reprendre la parole. Il avait l’impression de se voir avec ses camarades quand quelque chose n’allait pas. D’ailleurs, ils lui manquaient terriblement, mais moins ils seraient proche les uns des autres et mieux se serait. Sans compter que la plupart d’entre eux avaient une famille, ce qui n’était pas son cas. Non… Lui il avait fini dans le centre déposé par ses parents à quelque chose près…
« Tu as eu un souci avec l’une de tes sœurs ? Je suis pas très bien placé, mais on pourrait aller manger ensemble s’tu veux. Ça te changera les esprits… »
En plus, le coin où il avait installé son bus était sympa, il pouvait se permettre de rester. Cela lui permettrait, d’ailleurs, de faire quelques réparations avant de repartir en vadrouille. Après tout, le traumatisme de la captivité lui avait fait avoir des sueurs froides en restant trop longtemps au même endroit.
Ce fut donc tard dans la matinée que Nolan rejoignit la ville en moto pour faire quelques courses et déjeuner. Cependant, il n’avait pas fallu bien longtemps pour que tout déconne dans sa tête et qu’il capte la présence de Lena dans les parages. C’est que la petite louve lui avait « tapé dans l’œil ». Elle était du genre rebelle au possible et pourtant particulièrement sympa ! Le jeune homme avait d’ailleurs plutôt bien profité lors de leur dernière rencontre. Elle s’était sentie redevable de lui parce qu’il lui avait trouvé une boutique de réparation de vélo fraîchement ouverte. En même temps, il était encore plus performant que Google quand il le voulait !
Naturellement, il avait rejoint la position de la demoiselle avant de tomber sur une puce qui avait l’air d’être déprimée au possible. C’était étrange de sa part, elle avait plutôt l’air énergique de base.
« Tiens, la livreuse… ça va pas aujourd’hui ? »
De toute évidence, il n’en avait pas vraiment fallu plus pour qu’elle se braque un peu. Eh bien, qu’avait-elle pu vivre pour être dans cet état. Il avait hésité un instant avant de reprendre la parole. Il avait l’impression de se voir avec ses camarades quand quelque chose n’allait pas. D’ailleurs, ils lui manquaient terriblement, mais moins ils seraient proche les uns des autres et mieux se serait. Sans compter que la plupart d’entre eux avaient une famille, ce qui n’était pas son cas. Non… Lui il avait fini dans le centre déposé par ses parents à quelque chose près…
« Tu as eu un souci avec l’une de tes sœurs ? Je suis pas très bien placé, mais on pourrait aller manger ensemble s’tu veux. Ça te changera les esprits… »
en bref
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